Pourquoi la plupart des infirmières libérales finissent pauvres à leur retraite ?

Je sais que cet article ne va pas me faire que des amis, mais je l’écris du fond du cœur, car cette situation me révolte. Tu n’imagines pas le nombre de personnes, de prospects et de clientes que je récupère en fin de carrière, et qui se retrouvent dans une situation financière dramatique. Elles finissent pauvres.

Tout le monde fantasme sur les hauts revenus des infirmières libérales et des professionnels du paramédical en général. Il est vrai qu’elles peuvent générer un bon chiffre d’affaires, mais ce que peu de gens voient, c’est la réalité derrière les chiffres.

Je sais de quoi je parle. Mon épouse est psychomotricienne libérale, nous avons trois cabinets, et j’ai eu l’opportunité d’accompagner de nombreux soignants dans leur parcours financier. Pourtant, force est de constater que la majorité d’entre eux – infirmières, kinés, médecins – terminent leur carrière dans une précarité insoupçonnée.

L’histoire choquante d’un médecin que j’ai rencontré

J’ai déjà eu en face de moi un gynécologue – dont je tairai le nom – qui, à plus de 80 ans, était encore obligé de travailler. Non pas par passion, mais par nécessité. Lors d’un rendez-vous, il m’a confié avec amertume :

« Si j’avais eu un coach immobilier comme toi il y a 30 ans, ma situation serait totalement différente aujourd’hui… »

Ce médecin, à l’âge où il aurait dû profiter sereinement de sa retraite, était en train de vendre un bien à contre-cœur. Contrairement à la majorité de mes clients vendeurs, qui ressentent du soulagement ou de la satisfaction à tourner une page, lui était triste. Il vendait par obligation.

Pourquoi en arrive-t-on là ?

L’analphabétisme financier des soignants : un problème structurel

La grande majorité des professionnels de santé en libéral souffrent d’un manque d’éducation financière criant. Ce n’est pas leur faute, mais le résultat d’un système qui ne leur apprend pas à gérer leur argent.

En France, contrairement aux pays anglo-saxons, on inculque aux soignants une idéologie étrange :

  • Faire du business, c’est mal
  • Gagner beaucoup d’argent, c’est suspect
  • Faire de la publicité, c’est contraire à l’éthique
  • Un soignant respectable ne doit pas chercher à optimiser ses revenus

Ce conditionnement est un véritable handicap mental et financier. J’ai dû batailler pour que mon épouse accepte de faire prospérer son activité. Et elle n’est pas la seule !

Beaucoup de soignants libéraux restent prisonniers de ces croyances limitantes. Et s’ils osent remettre en question ce dogme, l’Ordre des Infirmiers ou l’Ordre des Médecins est là pour les recadrer.

Pourquoi les infirmières libérales finissent pauvres ?

  1. Une fiscalité dévorante

    • La plupart des infirmières libérales exercent en entreprise individuelle et subissent des charges sociales de 40 %.
    • Sur ce qu’il leur reste, l’État prélève encore une lourde imposition sur le revenu.
    • Exemple : sur un chiffre d’affaires de 15 000 € par mois (ce qui représente un travail énorme), il ne reste souvent que 4 500 € à 5 000 € net après impôts et charges.

    Ce n’est pas suffisant au regard des heures travaillées.

  2. Un manque de temps pour s’éduquer financièrement

    • Elles enchaînent les tournées, les soins, la paperasse…
    • Elles délèguent leur avenir financier à des conseillers en patrimoine qui vendent des produits standards et peu rentables.
    • Elles placent leur argent dans des assurances-vie ou des placements qui rapportent 5 % par an sur des sommes trop faibles pour faire une réelle différence.
  3. La mauvaise gestion de leur train de vie

    • Elles gagnent bien, mais ne capitalisent pas.
    • Elles achètent une belle résidence principale… et s’endettent pour de longues années.
    • À la retraite, elles se retrouvent avec une maison devenue trop grande et pas d’actifs générant des revenus passifs.

Résultat ?
Après 30 ans de dur labeur, ces soignantes, qui avaient un train de vie confortable, doivent drastiquement réduire leur niveau de vie à la retraite.

La proie parfaite des vendeurs de défiscalisation

Les infirmières libérales et autres soignants libéraux sont une cible de choix pour certains conseillers en patrimoine.

Le package classique ?
✅ Un peu d’assurance-vie
✅ Un peu de bourse
✅ Un investissement immobilier défiscalisé (Pinel, Censi-Bouvard…)

Or, ces investissements sont souvent des produits toxiques, mal positionnés, qui ne génèrent pas de réelle richesse.

La gachette d'Audrey Belrose

Le problème, c’est qu’en confiant aveuglément leur argent à ces “experts”, elles s’imaginent préparer leur avenir… alors qu’en réalité, elles s’appauvrissent lentement.

La solution : une vraie stratégie patrimoniale et immobilière

Si tu es infirmière libérale et que tu ne veux pas tomber dans ce piège, il est encore temps d’agir.

J’accompagne déjà plusieurs de tes collègues à :
✔️ Structurer leur activité pour payer moins d’impôts légalement
✔️ Optimiser leurs revenus pour transformer leur chiffre d’affaires en richesse réelle
✔️ Investir intelligemment dans l’immobilier rentable, et non dans des produits défiscalisants douteux
✔️ Créer des sources de revenus passifs pour ne plus dépendre exclusivement de leur travail

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Présentation Audrey Belrose